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Tu me guéris
Tu me guéris pendant l'été
De la soif qu'un vin plus vanté
M'avait laissé depuis la veille
Ton goût secret , mais doux aussi
Happant mon palais épaissi
Me rafraîchit quand je m'éveille
Et quoi ! si gai dès le matin
Je foule d'un pied incertain
Le sentier où verdit ton pampre !
Et je n'ai pas de Richelet
Pour finir ce docte couplet ...
ET trouver une rime en ampre .
Emile Verharen ( 1855) ( 1916)
Crétion Passe Rose